Bannière réalisée par Anne-Laure du blog Chut Maman lit ! |
Clairement, le mois de janvier n’a pas été très productif côté blog. Il faut dire que ça a été un mois un tantinet déprimant : temps maussade, beaucoup d’incertitudes et peu de perspectives de manière générale, et un manque de relations sociales qui finit par peser… Bref j’ai eu un gros coup de mou, et ça s’en est ressenti sur ma motivation à écrire.
Du coup j’ai pris la décision de basculer la majeure partie des articles prévus en brèves incluses dans ce recueil. Les quatre restants seront rédigés et publiés en février… enfin je l’espère !
Du coup j’ai pris la décision de basculer la majeure partie des articles prévus en brèves incluses dans ce recueil. Les quatre restants seront rédigés et publiés en février… enfin je l’espère !
LIVRES
Les Utop’jeunesse 20 (anthologie)
Même si les Utopiales n’ont pas eu lieu en 2020, je me suis tout de même procurée les deux recueils de l’édition par habitude. Le recueil jeunesse est une jolie réussite : les textes des quatre auteurs sont très intéressants et bien menés (plutôt pour des ados / grands ados je pense), avec des thématiques qui m’ont vraiment fait regretter l’annulation du festival.
Quant aux nouvelles des lauréats des concours de nouvelles à la fin, elles n'auraient je pense aucun mal à filer des complexes à des écrivains adultes : les intrigues ne sont pas extraordinaires (normal vu le nombre de pages) mais les textes débordent d'imagination et de bonnes idées.
Le dernier dragon sur Terre – Eoin Colfer
Amatrice de longue date des écrits de Eoin Colfer (à qui on doit l’excellente série jeunesse Artemis Fowl), j’ai voulu jeter un œil à son dernier roman, plus adulte, qui met en scène la rencontre entre le dernier dragon sur Terre et un ado à la dérive dans les marais de Louisiane. J'ai bien aimé cette histoire portée par l'atmosphère particulière du lieu et la rencontre entre deux personnages improbables mais attachants, chacun à leur façon. Mon seul regret est peut-être antagoniste un peu caricatural (dans la veine « je suis méchant parce que je suis méchant ») qui justifie parfois des scènes assez violentes (rien d'horrible mais on n’est clairement pas dans une publication jeunesse).
L’enfant de poussière (Cycle de Syffe 1) – Patrick K. Dewdney
Un premier tome d’un cycle de fantasy pour le moment classique dans son déroulement mais riche et très bien écrit – Chronique complète
Le département des théories fumeuses – Tom Gauld
Grande amatrice des dessins de Tom Gauld sur Twitter, je me suis fait un petit plaisir avec une des BDs qui regroupe des strips autour de la thématique de la science. C’est un petit livre délicieux qu’on feuillette petit à petit tout en se bidonnant à chaque planche des trouvailles absurdes de l’auteur. Deux autres albums existent en VF, je ne sais pas combien de temps je vais rester raisonnable.
Guide sorcier de l’évasion : atlas pratique des contrées réelles et imaginaires – Alix E. Harrow
Comment voulez-vous résister à une nouvelle qui parle de bibliothèques et de littérature de l'imaginaire, avec des passages comme celui-ci : « Il n’y a jamais eu que deux catégories de bibliothécaires au cours de l’histoire du monde : 1. - les revêches coincées dont le rouge à lèvres coule entre les craquelures des lèvres, persuadées que les livres sont leur propriété personnelle et les usagers de dangereux délinquants venus les voler ; 2. - les sorcières » ? Sans surprise je suis tombée sous le charme de ce texte, qui fait certes un peu beaucoup dans le fan-service (de l'imaginaire et des bibliothèques), mais qui parle aussi de choses plus difficiles avec beaucoup de justesse. Une très jolie nouvelle, disponible gratuitement jusqu'à fin février, alors ne vous privez pas !
La fille feu-follet et autres textes – Ursula K. Le Guin
Un recueil un peu fourre-tout, intéressant pour la nouvelle-titre et les essais – Chronique complète
Les contacteurs (Le cycle de Lanmeur 1) – Christian Léourier
Le premier tome d’un cycle de space-opera très intéressant, sur lequel plane clairement l’influence d’Ursula K. Le Guin, l’esprit d’aventure en plus – Chronique complète
J.R.R. Tolkien auteur du siècle – T.A. Shippey
Un essai très enrichissant sur l'œuvre de Tolkien, qui met en avant notamment le travail de construction de la narration, des langues et des noms (entre autres choses). J’ai été un peu refroidie au début par le fait que l’auteur passe son temps à répondre aux critiques négatives sur Tolkien (c’est un peu usant à force), mais c'est un ouvrage très intéressant. Chaque chapitre étant très riche, il ne se prête par contre pas trop à une lecture en pointillés (ce que j'ai eu la bonne idée de faire bien sûr).
Et un bon point pour la traduction qui adopte la nouvelle nomenclature de la traduction de Daniel Lauzon.
Urgences or not urgences : manuel de survie en milieu pédiatrique – To be or not toubib
Version imprimée de l'excellente page To be or not toubib, ce manuel est un must-have pour tout parent, surtout si ses enfants sont jeunes. Parlant de tous les maux des enfants, des plus bénins aux plus graves, il fait un formidable travail d'explication, de conseil et permet d'identifier assez rapidement si on doit courir aux urgences en pyjama ou se contenter d'un bisou magique. La page FB était pratique mais rien de tel qu'un bouquin, plus facile à parcourir en cas d'urgence. À s'offrir et à offrir.
Même si les Utopiales n’ont pas eu lieu en 2020, je me suis tout de même procurée les deux recueils de l’édition par habitude. Le recueil jeunesse est une jolie réussite : les textes des quatre auteurs sont très intéressants et bien menés (plutôt pour des ados / grands ados je pense), avec des thématiques qui m’ont vraiment fait regretter l’annulation du festival.
Quant aux nouvelles des lauréats des concours de nouvelles à la fin, elles n'auraient je pense aucun mal à filer des complexes à des écrivains adultes : les intrigues ne sont pas extraordinaires (normal vu le nombre de pages) mais les textes débordent d'imagination et de bonnes idées.
Le dernier dragon sur Terre – Eoin Colfer
Amatrice de longue date des écrits de Eoin Colfer (à qui on doit l’excellente série jeunesse Artemis Fowl), j’ai voulu jeter un œil à son dernier roman, plus adulte, qui met en scène la rencontre entre le dernier dragon sur Terre et un ado à la dérive dans les marais de Louisiane. J'ai bien aimé cette histoire portée par l'atmosphère particulière du lieu et la rencontre entre deux personnages improbables mais attachants, chacun à leur façon. Mon seul regret est peut-être antagoniste un peu caricatural (dans la veine « je suis méchant parce que je suis méchant ») qui justifie parfois des scènes assez violentes (rien d'horrible mais on n’est clairement pas dans une publication jeunesse).
L’enfant de poussière (Cycle de Syffe 1) – Patrick K. Dewdney
Un premier tome d’un cycle de fantasy pour le moment classique dans son déroulement mais riche et très bien écrit – Chronique complète
Le département des théories fumeuses – Tom Gauld
Grande amatrice des dessins de Tom Gauld sur Twitter, je me suis fait un petit plaisir avec une des BDs qui regroupe des strips autour de la thématique de la science. C’est un petit livre délicieux qu’on feuillette petit à petit tout en se bidonnant à chaque planche des trouvailles absurdes de l’auteur. Deux autres albums existent en VF, je ne sais pas combien de temps je vais rester raisonnable.
Guide sorcier de l’évasion : atlas pratique des contrées réelles et imaginaires – Alix E. Harrow
Comment voulez-vous résister à une nouvelle qui parle de bibliothèques et de littérature de l'imaginaire, avec des passages comme celui-ci : « Il n’y a jamais eu que deux catégories de bibliothécaires au cours de l’histoire du monde : 1. - les revêches coincées dont le rouge à lèvres coule entre les craquelures des lèvres, persuadées que les livres sont leur propriété personnelle et les usagers de dangereux délinquants venus les voler ; 2. - les sorcières » ? Sans surprise je suis tombée sous le charme de ce texte, qui fait certes un peu beaucoup dans le fan-service (de l'imaginaire et des bibliothèques), mais qui parle aussi de choses plus difficiles avec beaucoup de justesse. Une très jolie nouvelle, disponible gratuitement jusqu'à fin février, alors ne vous privez pas !
La fille feu-follet et autres textes – Ursula K. Le Guin
Un recueil un peu fourre-tout, intéressant pour la nouvelle-titre et les essais – Chronique complète
Les contacteurs (Le cycle de Lanmeur 1) – Christian Léourier
Le premier tome d’un cycle de space-opera très intéressant, sur lequel plane clairement l’influence d’Ursula K. Le Guin, l’esprit d’aventure en plus – Chronique complète
J.R.R. Tolkien auteur du siècle – T.A. Shippey
Un essai très enrichissant sur l'œuvre de Tolkien, qui met en avant notamment le travail de construction de la narration, des langues et des noms (entre autres choses). J’ai été un peu refroidie au début par le fait que l’auteur passe son temps à répondre aux critiques négatives sur Tolkien (c’est un peu usant à force), mais c'est un ouvrage très intéressant. Chaque chapitre étant très riche, il ne se prête par contre pas trop à une lecture en pointillés (ce que j'ai eu la bonne idée de faire bien sûr).
Et un bon point pour la traduction qui adopte la nouvelle nomenclature de la traduction de Daniel Lauzon.
Urgences or not urgences : manuel de survie en milieu pédiatrique – To be or not toubib
Version imprimée de l'excellente page To be or not toubib, ce manuel est un must-have pour tout parent, surtout si ses enfants sont jeunes. Parlant de tous les maux des enfants, des plus bénins aux plus graves, il fait un formidable travail d'explication, de conseil et permet d'identifier assez rapidement si on doit courir aux urgences en pyjama ou se contenter d'un bisou magique. La page FB était pratique mais rien de tel qu'un bouquin, plus facile à parcourir en cas d'urgence. À s'offrir et à offrir.
FILMS
Bird Box – Susanne Bier
Un film d'horreur post-apo qui met un scène une femme et deux enfants qui cherchent à échapper à des créatures invisibles qu'elles ne doivent absolument pas voir. L'ensemble est plutôt bien mené, même si j'avoue m'être assez peu attachée au reste du casting (dont on sait dès le départ qu'ils vont tous y passer). J'aime bien aussi le parcours de l'héroïne pas du tout mère modèle (même si le final reste convenu sur le sujet)
Mort à 2020 - Charlie Brooker, Al Campbell & Alice Mathias
Mockumentary (documentaire parodique) écrit et réalisé par les créateurs de Black Mirror, Mort à 2020 est une sorte de rétrospective satyrique de 2020 qui mélange images réelles et témoignages et commentaires de personnages fictifs (la mère de famille raciste, la politicienne qui nie tout, le scientifique que personne n'écoute, etc.). C'est une expérience que j'ai trouvé aussi réjouissante (tant c'est piquant) qu'inquiétante (tant c'est parfois trop proche de la réalité). Évidemment c'est très centré sur la Grande-Bretagne et les États-Unis, mais cela reste un joli moyen de dire au revoir à 2020 (en espérant qu'il ne soit pas nécessaire de faire la même chose en 2021, même si on a déjà de la matière...).
Rétrospective Miyazaki
Pendant les vacances de Noël, j’ai commencé à revoir certains films d’Hayao Miyazaki, et finalement je me suis prise au jeu de tous les revoir (sauf Le vent se lève et Le château de Cagliostro). Cette expérience a été plutôt intéressante : tandis que certains films qui comptaient beaucoup pour moi ont perdu un peu de grâce à mes yeux (oui Le château ambulant, c’est à toi que je parle), d’autres sont remontés dans mon classement, sans doute parce que leur positivité tombait au bon moment (coucou Kiki la petite sorcière).
Un film d'horreur post-apo qui met un scène une femme et deux enfants qui cherchent à échapper à des créatures invisibles qu'elles ne doivent absolument pas voir. L'ensemble est plutôt bien mené, même si j'avoue m'être assez peu attachée au reste du casting (dont on sait dès le départ qu'ils vont tous y passer). J'aime bien aussi le parcours de l'héroïne pas du tout mère modèle (même si le final reste convenu sur le sujet)
Mort à 2020 - Charlie Brooker, Al Campbell & Alice Mathias
Mockumentary (documentaire parodique) écrit et réalisé par les créateurs de Black Mirror, Mort à 2020 est une sorte de rétrospective satyrique de 2020 qui mélange images réelles et témoignages et commentaires de personnages fictifs (la mère de famille raciste, la politicienne qui nie tout, le scientifique que personne n'écoute, etc.). C'est une expérience que j'ai trouvé aussi réjouissante (tant c'est piquant) qu'inquiétante (tant c'est parfois trop proche de la réalité). Évidemment c'est très centré sur la Grande-Bretagne et les États-Unis, mais cela reste un joli moyen de dire au revoir à 2020 (en espérant qu'il ne soit pas nécessaire de faire la même chose en 2021, même si on a déjà de la matière...).
Rétrospective Miyazaki
Pendant les vacances de Noël, j’ai commencé à revoir certains films d’Hayao Miyazaki, et finalement je me suis prise au jeu de tous les revoir (sauf Le vent se lève et Le château de Cagliostro). Cette expérience a été plutôt intéressante : tandis que certains films qui comptaient beaucoup pour moi ont perdu un peu de grâce à mes yeux (oui Le château ambulant, c’est à toi que je parle), d’autres sont remontés dans mon classement, sans doute parce que leur positivité tombait au bon moment (coucou Kiki la petite sorcière).
Si je devais établir un classement à l’heure actuelle, je pense que Le voyage de Chihiro, Princesse Mononoke et Nausicaa de la vallée du vent formeraient un trio de tête. Mon voisin Totoro, Ponyo sur la falaise et Kiki la petite sorcière composent un trio de feel-good indispensable par les temps qui courent.
Quant aux derniers, Le château ambulant me parle moins qu’avant (mais je suis sans doute moins en phase avec l’héroïne que j’ai pu l’être). Porco Rosso est remonté dans mon estime avec son ambiance très mélancolique. Le château dans le ciel est celui que j’ai le moins aimé. Je l’ai trouvé plus inégal et assez violent avec ça (ça me frappe d’autant plus que les héros sont assez jeunes).
Une chose est sûre, cela reste marrant de faire des liens entre les différents films, que ce soit par les thématiques ou l’aspect de certains personnages ou créatures.
Quant aux derniers, Le château ambulant me parle moins qu’avant (mais je suis sans doute moins en phase avec l’héroïne que j’ai pu l’être). Porco Rosso est remonté dans mon estime avec son ambiance très mélancolique. Le château dans le ciel est celui que j’ai le moins aimé. Je l’ai trouvé plus inégal et assez violent avec ça (ça me frappe d’autant plus que les héros sont assez jeunes).
Une chose est sûre, cela reste marrant de faire des liens entre les différents films, que ce soit par les thématiques ou l’aspect de certains personnages ou créatures.
SÉRIES
Doctor Who 13x00 – Revolution of the Daleks
Un épisode de Nouvel an sympathique, qui n’apporte rien de nouveau sur le sujet des Daleks mais offre quelques très bons moments avec les compagnons – Chronique complète
Lupin : dans l'ombre d'Arsène – Partie 1
Une série qui revisite l'histoire d'Arsène Lupin au XXIe siècle en mettant en scène un personnage qui s'inspire des exploits littéraires pour monter ses propres coups. Les premiers épisodes sont très sympathiques avec un petit côté Sherlock dans cette façon de mettre en scène chaque énigme. La série se fait ensuite plus linéaire pour développer l'histoire du personnage. Moins de panache donc, mais une suite intéressante en perspective. L'ensemble fonctionne plutôt bien, et j'aime bien la version de Paris mise en scène, beaucoup plus réaliste que celle très sucrée de Emily in Paris (même si l'abus de sucre a son intérêt en ce moment, je vous reparlerais d'Emily plus tard d'ailleurs).
Star Trek Discovery – Saison 3
La saison 2 se terminant sur une promesse renouvelée d'aventures, j'ai plongé avec plaisir dans cette saison 3 qui nous emmène sacrément loin. Le hasard fait parfois étrangement les choses. Alors que cette saison a sans doute été écrite avant la pandémie, son ton incroyablement positif est sans doute juste ce qu'il fallait dans le contexte actuel. En mettant en avant l'importance du collectif (même si Michael continue à jouer souvent en solo), cette troisième saison est un petit bonheur à regarder. Et puis il y a un chat. Et un vaisseau USS Le Guin (juste cité en passant mais quel bel hommage *-*). Si cela ne vous suffit pas comme argumentaire, je ne sais pas ce qu'il vous faut !
Watchmen (mini-série)
Sans doute une des séries qui m'a le plus impressionnée dernièrement : cette adaptation/suite du comic de Alan Moore est juste brillante, s'appuyant avec intelligence sur le matériau d'origine pour écrire sa propre histoire non moins intéressante. C'est bien simple, tout est réussi dans cette série : l'intrigue, les visuels, la musique, le choix des acteurs... C'est une série aussi passionnante pour sa thématique principale (le racisme) que pour toute l'histoire qui se construit autour, pleine de surprises et d'indices à repérer. Mention spéciale aux épisodes 6, 7 et 8 qui sont carrément ébouriffants. Bref une série à voir !
Un épisode de Nouvel an sympathique, qui n’apporte rien de nouveau sur le sujet des Daleks mais offre quelques très bons moments avec les compagnons – Chronique complète
Lupin : dans l'ombre d'Arsène – Partie 1
Une série qui revisite l'histoire d'Arsène Lupin au XXIe siècle en mettant en scène un personnage qui s'inspire des exploits littéraires pour monter ses propres coups. Les premiers épisodes sont très sympathiques avec un petit côté Sherlock dans cette façon de mettre en scène chaque énigme. La série se fait ensuite plus linéaire pour développer l'histoire du personnage. Moins de panache donc, mais une suite intéressante en perspective. L'ensemble fonctionne plutôt bien, et j'aime bien la version de Paris mise en scène, beaucoup plus réaliste que celle très sucrée de Emily in Paris (même si l'abus de sucre a son intérêt en ce moment, je vous reparlerais d'Emily plus tard d'ailleurs).
Star Trek Discovery – Saison 3
La saison 2 se terminant sur une promesse renouvelée d'aventures, j'ai plongé avec plaisir dans cette saison 3 qui nous emmène sacrément loin. Le hasard fait parfois étrangement les choses. Alors que cette saison a sans doute été écrite avant la pandémie, son ton incroyablement positif est sans doute juste ce qu'il fallait dans le contexte actuel. En mettant en avant l'importance du collectif (même si Michael continue à jouer souvent en solo), cette troisième saison est un petit bonheur à regarder. Et puis il y a un chat. Et un vaisseau USS Le Guin (juste cité en passant mais quel bel hommage *-*). Si cela ne vous suffit pas comme argumentaire, je ne sais pas ce qu'il vous faut !
Watchmen (mini-série)
Sans doute une des séries qui m'a le plus impressionnée dernièrement : cette adaptation/suite du comic de Alan Moore est juste brillante, s'appuyant avec intelligence sur le matériau d'origine pour écrire sa propre histoire non moins intéressante. C'est bien simple, tout est réussi dans cette série : l'intrigue, les visuels, la musique, le choix des acteurs... C'est une série aussi passionnante pour sa thématique principale (le racisme) que pour toute l'histoire qui se construit autour, pleine de surprises et d'indices à repérer. Mention spéciale aux épisodes 6, 7 et 8 qui sont carrément ébouriffants. Bref une série à voir !
JEUX VIDÉO
Dragon Age II
J'ai mis très longtemps à m'intéresser au 2e volet de la série de jeux vidéo Dragon Age, par manque de temps certes, mais aussi parce que j'avais eu de mauvais retours à son sujet. Il faut dire que bien qu’il se passe dans le même univers, il ne fait pas du tout les mêmes choix de jeux. À l’opposé total du jeu précédent, Dragon Age II ne propose qu’une seule origine de personnage, avec une intrigue centrée sur une seule ville et des quêtes qui ne laissent pas forcément beaucoup de place à l’approche non violente.
Cependant, pour un jeu avec un cycle de développement beaucoup trop court, je l'ai trouvé très agréable à jouer si on laisse de côté le recyclage des maps à l'infini. Les concepteurs ont su bien jouer du principe du lieu unique en s’amusant avec la variable temps, ce qui donne quelque chose d’assez original dans le déroulement de l’histoire. J’ai bien apprécié également la façon dont on fait évoluer le tempérament du héros, ainsi que les compagnons tous très nuancés.
Le jeu vient avec son cortège de DLC : les lots d’arme m’ont semblé un peu accessoire vu que je jouais en mode facile. Le compagnon supplémentaire n’est pas extraordinaire. J’ai par contre beaucoup aimé Legacy (le seul vrai donjon du jeu) et Mark of the Assassin (qui varie un peu les modes de jeu avec sa séquence d’infiltration.
J'ai mis très longtemps à m'intéresser au 2e volet de la série de jeux vidéo Dragon Age, par manque de temps certes, mais aussi parce que j'avais eu de mauvais retours à son sujet. Il faut dire que bien qu’il se passe dans le même univers, il ne fait pas du tout les mêmes choix de jeux. À l’opposé total du jeu précédent, Dragon Age II ne propose qu’une seule origine de personnage, avec une intrigue centrée sur une seule ville et des quêtes qui ne laissent pas forcément beaucoup de place à l’approche non violente.
Cependant, pour un jeu avec un cycle de développement beaucoup trop court, je l'ai trouvé très agréable à jouer si on laisse de côté le recyclage des maps à l'infini. Les concepteurs ont su bien jouer du principe du lieu unique en s’amusant avec la variable temps, ce qui donne quelque chose d’assez original dans le déroulement de l’histoire. J’ai bien apprécié également la façon dont on fait évoluer le tempérament du héros, ainsi que les compagnons tous très nuancés.
Le jeu vient avec son cortège de DLC : les lots d’arme m’ont semblé un peu accessoire vu que je jouais en mode facile. Le compagnon supplémentaire n’est pas extraordinaire. J’ai par contre beaucoup aimé Legacy (le seul vrai donjon du jeu) et Mark of the Assassin (qui varie un peu les modes de jeu avec sa séquence d’infiltration.
À VENIR EN FÉVRIER
Et bien on ne change pas une recette qui marche : en février, nous parlerons des trois lectures de janvier en attente de chronique, ainsi que de l’épisode du nouvel an de Doctor Who. L’article sur Ursula K. Le Guin est également en bonne voie, je ne donnerais pas de date mais il n’a jamais été aussi abouti. Il faut juste que je me pose un peu quand j’ai du temps libre, au lieu d’en profiter pour faire une tournée de ménage ou de courses !
Côté lecture j’ai commencé L’anomalie de Hervé Le Tellier (pour pouvoir moi aussi donner mon avis sur ce Goncourt SFFF). Côté séries je termine la saison 4 de Lucifer et je me fais un petit plaisir avec Emily in Paris. Quant aux films… ma foi on en reparlera quand Mini-Vert daignera se coucher avant 21h30 !
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